AOP duché d'Uzès
les sélections

Sur les chemins de Rome

Le Chant des Baumes

Confidentiel

Sur les
chemins
de Rome

une sélection
de coteaux

Duché d’Uzès, cette jeune AOC a sélectionné rigoureusement les plus beaux terroirs de coteaux, de Anduze jusqu’au pont du Gard. Nos Chemins de Rome sont blottis sous la colline, sur des coteaux ombragés. Nous ne sommes pas vraiment les 1ers à les apprécier. Siégeait ici autour des parcelles un camp romain et demain qui sait sur ces terres idéalement préparées aux changements climatiques. Nous ne faisons que passer et l’emprunter.

L’assemblage rhodanien syrah/grenache sur les rouges et rosés et grenache blanc, roussanne et viognier sur les blancs font d’eux des classiques de l’appellation

Sur les
chemins
de Rome

une sélection
de coteaux

Duché d’Uzès, cette jeune AOC a sélectionné rigoureusement les plus beaux terroirs de coteaux, de Anduze jusqu’au pont du Gard. Nos Chemins de Rome sont blottis sous la colline, sur des coteaux ombragés. Nous ne sommes pas vraiment les 1ers à les apprécier. Siégeait ici autour des parcelles un camp romain et demain qui sait sur ces terres idéalement préparées aux changements climatiques. Nous ne faisons que passer et l’emprunter.

L’assemblage rhodanien syrah/grenache sur les rouges et rosés et grenache blanc, roussanne et viognier sur les blancs font d’eux des classiques de l’appellation

Le Chant
des Baumes

si convoité depuis plus
de 2000 ans

Sous l’oppidum de Labaume, juste en dessous du bois, grande réserve de chasse, il y a ce morceau de terre qui nous émeut tellement, le Chant des Baumes.

Entouré de garigues, d’oliviers et de chênes truffiers, c’est dans ce paysage isolé et préservé que nous cultivons nos vieilles vignes à flanc de coteaux, sur des terres pentues. Intriguant d’imaginer les vignerons qui ont cultivé cette terre avant notre ère comme le témoigne cette grosse pierre faisant office de pressoir il y a plus de 2000 ans.

Sur des cépages locaux, syrah & grenache, les rendements sont maîtrisés à seulement 30hl/ha. Le rouge patientera 18 mois pour arrondir son caractère. Le rosé complétera son assemblage avec l’élégant mourvèdre.

Le Chant
des Baumes

si convoité depuis plus
de 2000 ans

Sous l’oppidum de Labaume, juste en dessous du bois, grande réserve de chasse, il y a ce morceau de terre qui nous émeut tellement, le Chant des Baumes.

Entouré de garigues, d’oliviers et de chênes truffiers, c’est dans ce paysage isolé et préservé que nous cultivons nos vieilles vignes à flanc de coteaux, sur des terres pentues. Intriguant d’imaginer les vignerons qui ont cultivé cette terre avant notre ère comme le témoigne cette grosse pierre faisant office de pressoir il y a plus de 2000 ans.

Sur des cépages locaux, syrah & grenache, les rendements sont maîtrisés à seulement 30hl/ha. Le rouge patientera 18 mois pour arrondir son caractère. Le rosé complétera son assemblage avec l’élégant mourvèdre.

confidentiel

un aveu à partager

Sur le promontoire de Labaume, au bout du chemin, il y a cette petite vigne au milieu d’un horizon de garrigue et d’oliviers, elle surplombe le Duché d’Uzès.

La plus sauvage mais aussi la plus mature et la plus résiliente, elle donne à chaque millésime le meilleur d’elle-même. C’est la rareté de ces grains qui lui ont donné son nom.

Pour le blanc, c’est à la dégustation des fûts  de viognier, grenache et roussanne que nous avons su que nous étions prêts ; 3 d’entre eux sortaient du lot : les bons raisins, le bon bois, la bonne chauffe, tout était réuni pour les distinguer

Pour le rosé, c’est en cave que l’évidence s’est imposée, après toutes ces années d’observation et de précision. Une cuve s’est distinguée. Nous l’avons isolée, choyée.

confidentiel

un aveu à partager

Sur le promontoire de Labaume, au bout du chemin, il y a cette petite vigne au milieu d’un horizon de garrigue et d’oliviers, elle surplombe le Duché d’Uzès.

La plus sauvage mais aussi la plus mature et la plus résiliente, elle donne à chaque millésime le meilleur d’elle-même. C’est la rareté de ces grains qui lui ont donné son nom.

Pour le blanc, c’est à la dégustation des fûts  de viognier, grenache et roussanne que nous avons su que nous étions prêts ; 3 d’entre eux sortaient du lot : les bons raisins, le bon bois, la bonne chauffe, tout était réuni pour les distinguer

Pour le rosé, c’est en cave que l’évidence s’est imposée, après toutes ces années d’observation et de précision. Une cuve s’est distinguée. Nous l’avons isolée, choyée.